Il y avait du monde ce matin sur le marché de Puteaux. On se serait cru en pleine campagne municipale. Avec mon équipe, nous avons distribué les derniers exemplaires de la Lettre aux Putéoliens. Beaucoup de petits signes et de sourires lancés, de contacts pris avec des habitants et des militants locaux, de discussions sur le cadre de vie, le logement, les crèches, la démocratie locale.
A midi, Charles Ceccaldi-Raynaud débarque, vient pour prendre mon tract, et m'explique qu'il faut chasser les illégitimes qui siègent à la mairie. "Vous appelez donc à voter pour moi, monsieur le maire ?". "Il faut une union locale, comme il y a eu une union nationale pour obtenir la libération", me répond-il !
Vers 13h, alors que cela fait 3 heures que je suis là à discuter avec la population et que le marché ne va pas tarder à fermer, c'est la députée-maire qui débarque ! Joëlle Ceccaldi-Raynaud trace dans la foule qui l'ignore. Forcément, elle ne vient jamais. Elle passe devant son père sans un regard, sans un geste.
Visiblement, la Guerre des Ceccaldi est à son comble.
Avec Evelyne, Nicole, Christel, Frédéric, Vincent, Emeric et Régis, nous allons ensuite faire un tour au marché du goût. Un premier dimanche d'automne fort intéressant. A dimanche prochain... et à tous les dimanches suivants.
Christophe Grébert
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