Putéolienne depuis trois ans, je suis maman au foyer, sans complexe et sans modération !
Militante au MODEM de Puteaux depuis presque trois ans, je crois en des valeurs fortes: l’humanisme, la liberté d’entreprendre, l’ouverture sur les autres, la tolérance.
C’est pour cela que j’ai décidé de soutenir Christophe Grébert. Il incarne ces valeurs et porte un projet novateur, ambitieux centré surtout sur le bien-être de la ville, la bienveillance du débat local et l’intégration de tous.
Lors de mon arrivée à Puteaux, alors jeune professionnelle, j’ai dû vite m’intéresser aux modes de garde proposés par la ville. J’ai été déçue de découvrir un dispositif rigide et peu adapté aux besoins d’une population jeune et active : des places en crèche limitées à quelques chanceux, un manque de flexibilité des horaires (fermeture à 18h30)… L’obtention d’une place en crèche est un parcours du combattant. En bénéficier ressemble souvent à une faveur.
Pourquoi, devant la réalité des besoins (750 naissances par an à Puteaux), une ville qui a autant de moyens ne se dote-t-elle pas d’une politique de garde d’enfant ambitieuse? En épaulant activement les créateurs de crèches parentales, en créant des crèches mixtes dans les nombreuses entreprise de la ville, etc. Avez-vous aussi essayé de faire garder ponctuellement votre enfant ? Il y a un manque cruel de souplesse et d’écoute des besoins.
Le futur des enfants de Puteaux me pose aussi question. Il faudrait une ville plus impliquée dans la réussite de ses collèges et de ses lycées. Le lycée Agora figure parmi les moins bons établissements du département. Le principal souci d’un parent qui arrive à Puteaux semble se résumer à la question de savoir dans quelle autre ville trouver une école ! Le Maire de Puteaux elle même aurait inscrit tous ses enfants dans un établissement de Neuilly !
J’aimerais aussi, en raison de sa situation géographique dans la Défense, que Puteaux ait une ambition européenne. Pourquoi ne pas imaginer rapprocher l’Europe des habitants de la ville ? Par exemple, en développant des échanges actifs dans les écoles, en lançant des jumelages culturels, en créant une « maison de l’Europe », en finançant des bourses d’études européennes… Si on forme mieux nos enfants à l’Europe, est-ce qu’on ne règle pas d’une certaine manière les « communautarismes » dont on se plaint à Puteaux ?
Je veux croire en une ville qui s’investit pour ses enfants et pour leur formation.
Andréa Faxel
DECOUVREZ LES AUTRES MEMBRES DE NOTRE EQUIPE
(photo : Flickr)
Comments